L'arrêté préfectoral de dérogation environnementale doit être réexaminé car l'autonomie de l'autorité environnementale doit être actée. En effet, tout projet public doit être soumis à évaluation et le préfet ne peut être juge et partie en signant à la fois la déclaration d'utilité publique (DUP) et l'étude environnementale délivrée par la Direction Régionale de l'Environnement, Aménagement, Logement (DREAL).La Mairie de Grabels lance des actions juridiques continues depuis plus de dix ans pour dénoncer les risques sanitaires et écologiques (voir notre vidéo sur la loutre) du projet routier inutile et écocide du LIEN.
Tous ceux qui se battent contre le LIEN attendent du Département qu'il réalise ses promesses électorales : aujourd'hui engagé dans la lutte environnementale, le Président du Département, Kléber Mesquida déclare lors de son nouveau mandat à la Présidence : « La solidarité et l’environnement seront donc les deux piliers je m’y engage. Je nous y engage ». Kléber Mesquida ne peut que souscrire à l'avis du Conseil d'Etat et plus largement contribuer aux changements attendus : l'écologie n'est pas un mot vide et les passages à l'acte sont nécessaires, car les solutions existent.
Investir les 100 Millions d'Euros du LIEN dans la transition écologique, c'est à dire dans des projets de mobilités douces, oui, cela est possible ! Si l'on additionne le LIEN avec le COM et le DEM, ce sont plus de 500 Millions d'Euros rendus effectivement disponibles pour l'écologie et les solidarités.
C'est ce qu'ont décidé les élus du Département de l'Ille-et-vilaine : arrêter les gros projets routiers et transférer l'argent dans ... les pistes cyclables notamment .
Consultez les articles du Midi-Libre du 13 juillet 2021 et de la Gazette du 15 juillet 2021, le blog de René Revol, maire de Grabels, sa mini-vidéo, sans oublier les réseaux sociaux .
Regardez les 2 épisodes sur les habitants du LIEN : Episode 1 : mammifères Episode 2 : oiseaux et reptiles